Yop

“My Story.

Believe it or not, that first picture was me once upon a time. I wasn’t pretty, I wasn’t popular, and throughout elementary, middle, and even parts of high school, I got the biggest shit for it. Name calling and bullying? I’ve had my share of it. I was pushed down lower and lower in the chain of society and really had no idea what to do or why I felt so negatively about myself. Low esteem. Yes. Sadness. Yes. Hurt? Hell yes. But you know what? Time and effort never seems to help so much. I somehow stayed strong and taught myself to change for the better, to change for myself so that one day I could stand on my own and say “Fuck you society. Look what I have done with myself.” Girls, keep in mind that there’s an inner beauty about a woman that believes in herself; who knows that she’s capable of anything she puts her mind to. There’s beauty in the strength and determination of a woman that follows her own path, who isn’t thrown off by obstacles in her way. There’s beauty in the woman who has the confidences that comes from experiences, the one that can fall, pick herself up again, and move on. So here it finally is:

Fuck you society, look where I am now.”

Le systeme de sante publique Americain marche sur la tete

“Les Etats-Unis sont le seul pays industrialisé au monde qui ne dispose pas d’un système de couverture médicale universelle… Les personnes sans couverture médicale sont moins susceptibles de consulter un médecin de ville, et sont donc davantage enclins à être hospitalisées pour des affections qui ne le justifient pas. Une fois hospitalisés, ils reçoivent moins de soins et ont plus de chance de décéder à l’hôpital que des patients bénéficiant d’une mutuelle.

Les populations de pays qui dépensent beaucoup moins en la matière sont en bien meilleure santé… Le taux de mortalité infantile aux Etats-Unis est à l’heure actuelle plus élevé que dans la plupart des pays industrialisés… Un enfant qui naît au Salvador a plus de chance de survivre qu’un nourrisson qui naît à Detroit…  Les Canadiens ont trois ans d’espérance de vie de plus que les Américains…  Même les Britanniques les plus pauvres ont une plus longue espérance de vie que les Américains les plus riches.”

Bien que vivant aux Etats-Unis depuis quelques annees, je suis vraiment incapable de juger car je ne suis pas specialiste en la matiere et comprends mal les complexites de ce fichu systeme de sante. Ceux qui comprennent mieux que moi sont les bienvenus à s’exprimer sur le sujet.

Il reste qu’on voit bien que les Americains correctement couverts par les plans de sante prives de leurs entreprises si elles sont genereuses, ca va. Pour les autres, c’est la ruine (au sens propre comme au figure).

A new beginning ahead

Il m’a fallu des evenements majeurs declencheurs pour en prendre “finalement”conscience.

Amitie a sens unique

“J’en ai entendue des louanges, sur ma gentillesse, ma sagesse, ma capacité à rester Zen à parler avec calme à écouter les autres à conseiller sans compter…et voilà le bilan que je tire de tout ce temps passer à attendre que l’autre puisse m’apporter (quand j’en ai besoin) du réconfort..Le bilan est bel est bien catastrophique. C’est aujourd’hui que je comprends qu’au fond il ne faut rien attendre des autres  – c’est ainsi que nous ne seront jamais déçues par eux.

L’autre jour, une phrase anodine sans ambigüité  m’a fait prendre conscience de cela.
Une personne, avec qui j’ai d’excellentes relations, me dit qu’il vient de réaliser que “je sais tout de lui”. La dessus je lui répond que “moi je réalise que lui ne sait pas grand chose de moi“.  Il me répond que “c’est vrai,” mais son “ton” est clair, il n’a pas envie d’en savoir plus. Par contre,  il a très envie de me raconter tous ses problèmes, même les plus intimes, de me dire combien il en a assez de sa vie amoureuse, de son père, de sa mère etc..

Je réalisais d’après cette phrase que moi en deux ans il avait dû me demander 2 fois comment j’avais passé le WE ou ce que j’avais regardé la veille à la télé ou où j’allais en vacances… Mais il me répète que je suis son amie..

Je m’en moque mais sur le principe ça m’attriste. Est-il possible lorsque l’on se confie depuis deux ans , tous les jours à une personne, de ne pas avoir, ne serait-ce qu’une fois, envie de la connaître un peu ? Je ne peux plus supporter cette indifférence et pourquoi ne pas parler aussi de cet opportunisme? J’ai, dernièrement, eu quelques soucis avec une amie. Pas une fois cela lui a traversé l’esprit que j’avais peut-être envie d’en parler..?

J’ai beaucoup d’humour. Mais là je sature. Peut-être suis-je un peu fatiguée, je me retrouve en tous cas dans cette relation d’amitié unilatérale, voulu que par l’un des deux protagonistes pour satisfaire égoïstement ses propres besoins. Combler le vide de sa vie personnelle tout en ce moquant de la lassitude que peut bien ressentir le “confident” que l’on a en face. Ses disputes, ses discussions stériles, cette énergie à se plaindre sans jamais essayer de trouver de solution. Je cherche maintenant à me dépêtrer de cette amitié dont je ne veux pas qui me colle et dont je n’arrive pas à me défaire, et je n’y arrive pas…”

By P.